Fort d’une expérience de 40 années dans le monde de l’encadrement, Nielsen France est constituée d’une équipe de passionnés qui travaille chaque jour à proposer des produits pour rendre votre intérieur aussi parfait que possible.
1968
UNE IDÉE EN ALU…
Qu’est-ce que l’aventure nielsen ?
Dans sa petite ville de Townsend aux Etats-Unis, Helmar Nielsen eu la brillante idée d’associer un produit qui le fascine, l’aluminium, au monde encore très élitiste de l’encadrement. De nombreuses visites sur des sites industriels dans les années 1960, lui ont permis de se lancer dans cette aventure.
1983
UNE RENCONTRE FORTUITE
Après avoir brillamment débuté son parcours aux Etats-Unis, Helmar Nielsen se retrouve à parcourir l’Europe en quête d’inspiration et d’excellence. Dès lors, il fit la rencontre d’un certain entrepreneur Rainer Mönchmeier en Allemagne. Ce dernier devint son ami et associé. Ainsi, avec une même vision et passion pour les processus industriels, les deux hommes décidèrent d’implanter une usine de transformation de l’aluminium à Rheda-Wiedenbrück.
1984
UNE NOUVELLE ÈRE
Par la suite, les associés font l’acquisition en 1984 d’une presse en aluminium. Cette machine permettra à nos deux entrepreneurs, de mettre en place une activité industrielle spécialisée dans la production et le traitement de surfaces des profilés aluminium, tout cela uniquement dédiés à la fabrication de cadres. C’est officiellement la naissance de Nielsen Design sur le continent européen.
1980
UN RANG MONDIAL
AU FIL DES ANNÉES
Dans le même élan, nielsen rachète la société de fabrication de cartons contrecollés, Bainbridge®. La petite entreprise concrétise par la même occasion son expertise sur les métiers de l’encadrement. Ainsi, l’introduction de la technologie exclusive Artcare™ appliquées aux cartons contrecollés pour la conservation d’oeuvres de type musée, permet à Nielsen de devenir la 2ème société mondiale productrice de contrecollés.
Aujourd’hui
UNE MARQUE RÉFÉRENCE
Avec ses 3 filiales commerciales en Europe (Allemagne, France et Angleterre) et une usine de fabrication basée en Allemagne, nielsen est devenue une marque de référence dans le monde de l’encadrement. Le groupe possède désormais une expertise dans tous ses métiers : le cadre, le verre, le contrecollé, et même les solutions d’accrochage.
Aujourd’hui l’entreprise ne cesse d’innover afin de proposer des produits qui répondent aux besoins du marché. L’aventure nielsen continue…
L’art du cadre
Entre héritage et innovation
Une idée danoise qui change tout
Tout commence en 1968, avec Helmar Nielsen, un designer danois animé par une conviction : le cadre pouvait être plus qu’un simple support. Il pouvait devenir un objet de design à part entière, à la fois sobre, fonctionnel et durable.
Dans sa ville de Townsend, aux États-Unis, il imagine une nouvelle manière d’encadrer : utiliser l’aluminium, un matériau moderne, résistant et recyclable, à la place du bois totalement incontournable. À une époque où le cadre bois est encore l’apanage des galeries et des ateliers d’art, cette idée est révolutionnaire.
Helmar Nielsen rêve d’un cadre accessible, précis, et surtout industriellement reproductible, sans renoncer à l’élégance. C’est la naissance d’un concept qui, quelques années plus tard, changera à jamais la perception de l’encadrement.
De l’idée au savoir-faire industriel
Au fil des années 1970, la vision Nielsen prend forme. Helmar s’installe en Allemagne, à Rheda-Wiedenbrück, où il s’associe avec Rainer Mönchmeier, industriel passionné d’innovation. Ensemble, ils posent les bases d’un savoir-faire européen, à la croisée du design scandinave et de la rigueur industrielle allemande.
En 1984, l’acquisition d’une presse à extruder change la donne : Nielsen devient la première entreprise à produire ses propres profilés en aluminium dédiés exclusivement à l’encadrement.
Chaque profilé est issu d’un billot d’aluminium chauffé, pressé à travers une filière réalisée sur mesure pour donner naissance à un profilé précis, fin, stable et élégant.
Ce procédé est encore aujourd’hui cœur de la production, assure une qualité constante et une liberté de création totale.
Quand la technique rencontre l’esthétisme
Chez Nielsen, la technologie ne s’oppose jamais à l’esthétisme, elle la rend possible. Après l’extrusion, chaque profilé passe par une série d’étapes maîtrisées : redressage, découpe, traitement de surface, application de la finition, contrôle de teinte et assemblage.
L’anodisation, une technologie phare de Nielsen, est un procédé électrochimique qui transforme la surface du métal en une couche d’oxyde protectrice. Cette fine barrière renforce la résistance à la corrosion et permet d’obtenir des teintes métallisées subtiles : argent, cuivre, champagne, bronze… La surface est ensuite colmatée, pour fixer la couleur et garantir une brillance durable.
Résultat : un cadre à la fois technique et esthétique, où la lumière glisse sur l’aluminium sans jamais l’altérer.
Une référence mondiale
À partir des années 1980, Nielsen s’impose sur le marché international. La marque développe son activité aux États-Unis et dans toute l’Europe. Elle acquiert des sociétés spécialisées dans la fabrication de carton (notamment Bainbridge) et développe des technologies de conservation comme Artcare, destinées aux musées et aux collectionneurs.
Aujourd’hui, Nielsen est présent dans plus de 40 pays. Le siège est en Allemagne et possède une filiale en France et en Angleterre.
Mais au fond, rien n’a changé : la philosophie d’Helmar Nielsen reste la même. Faire simple. Faire juste. Et donner à chaque image le cadre qu’elle mérite !
Le cadre, miroir de son époque
À la Renaissance, le cadre devient un objet d’art en soi : il sépare le monde réel de la scène peinte. Dans les ateliers florentins du 15e siècle, il entoure les icônes religieuses et les portraits des grandes familles italiennes. Du 17 au 18e siècle, les cadres se font baroques, dorés à la feuille, reflet du prestige des cours royales. Le cadre est alors un symbole de pouvoir autant qu’un outil esthétique.
Tout change au 19e siècle avec la naissance de la photographie. Daguerre, en 1839 présente le daguerréotype à Paris, l’ancêtre de l’appareil photo. Puis vient Kodak, fondé par George Eastman en 1888, qui démocratise la photo avec le slogan célèbre : « You press the button, we do the rest ». Pour la première fois, chacun peut immortaliser un instant de sa vie. Les cadres quittent les salons aristocratiques pour entrer dans les foyers : on encadre désormais des visages aimés, des voyages, des moments de vie.
L’âge d’or de l’argentique
La photographie devient un langage universel au 20e siècle. Des marques comme Leica, Nikon, Canon ou Kodak équipent les reporters et les artistes. C’est l’époque du photojournalisme, celui de Robert Capa, Henri Cartier, Bresson ou encore Eve Arnold. Le noir et blanc révèle la variété brute du monde.
Les laboratoires, les galeries et les agences de presse se multiplient : Magnum photos notamment devient une légende. Et c’est précisément dans cet univers-là que Nielsen trouve naturellement sa place : le cadre aluminium, sobre et précis, devient l’allié des tirages photographiques. Il offre ce que les photographes recherchent : une neutralité élégante qui valorise l’image sans la dominer.
L’arrivée du numérique
Dans les années 2000, la photographie quitte les chambres noires pour s’afficher sur les écrans. C’est le numérique ! Mais paradoxalement, jamais les tirages n’ont eu autant de valeur. Dans les festivals photo, les expositions de presse ou les galeries contemporaines, les cadres Nielsen s’imposent comme une signature visuelle : lignes fines, aluminium anodisé, angles parfaits, cadres durables. C’est le cadre du photographe, celui qui accompagne les images qui font l’histoire.
Aujourd’hui
Des archives de Magnum au festival de la photographie à Arles, des galeries parisiennes aux murs de nos maisons, Nielsen traverse les époques sans jamais trahir son ambition : s’effacer pour mieux révéler l’essentiel : l’image !


















